Lu dans la Presse

Pelléas et Mélisande / Théâtre des Champs-Elysées - Concertgebouw / Juin 2007 (Mise en scène : Jean-Louis Martinoty / Direction musicale : Bernard Haitink)

Libération - 18/06/2007 - "«Pelléas» passe à l'as" - Eric Dahan

« [...] Seule bonne surprise, le petit Yniold de la soprano Amel Brahim-Djelloul, juste et convaincante dans ce rôle délicat et ce spectacle qui l'est moins.[...]»

Le Figaro - 16/06/2007 - "Fascination de l'Orchestre" - Christian Merlin

« [...] la justesse dramatique d'Amel Brahim-Djelloul (complète) un tableau de choix. [...]»

webthea.com - 21/06/2007 - "Debussy en magnificence musicale et abécédaire superflu" - Caroline Alexander

« [...] émouvante prestation de la jeune Amel Brahim Djelloul qui réussit à faire du petit Ynold une créature vif argent.[...]»

resmusica.com - 17/06/2007 - "On a brisé la glace avec des fers rougis" - Maxime Kaprielian

« [...] Avec Marie-Nicole Lemieux, Amel Brahim-Djelloul et Yuri Kissin, nous sommes en présence d’une distribution luxueuse des seconds rôles, témoins actifs de cette soirée d’exception. [...]»

concertonet.com - 14/06/2007 - "Entre symbolisme et réalisme" - Simon Corley

« [...] Avec respectivement Marie-Nicole Lemieux et Amel Brahim-Djelloul, les rôles de Geneviève et d’Yniold bénéficient d’une distribution luxueuse. [...]»

Le Nozze di Figaro de W.A. Mozart / Opéra de Lausanne / Avril 2007 (Mise en scène : Marco Arturo Marelli - Enrico de Feo / Direction musicale : Juanjo Mena)

Opéra Magazine - Juin 2007 - "Lausanne - Le Nozze di Figaro" - Vincent Borel

« A Lausanne, on devrait parler de "Nozze di Susanna" tant Amel Brahim-Djelloul porte la production. Elle est pétulante, intelligente, vocalement de plus en plus accomplie, et désormais pourvue d'un médium qui rend moelleux à ravir son "Deh, vieni non tardar". L'actrice, déjà fort intéressante cet hiver à Nantes et à Angers, a encore mûri un emploi taillé à sa mesure. [...]»

Le Courrier - 25/04/2007 - "Noces" élégantes et subversives - Marie Alix Pleines

« Piquante Susanna (lumineuse Amel Brahim-Djelloul), insolent Figaro (généreux Riccardo Novaro) [...] : les nouvelles Nozze di Figaro lausannoises rayonnent [...]»

Le Temps - 24/04/2007 - Des "Noces" virevoletantes - Julian Sykes

« [...] La Palme revient au couple de valets, en particulier Amel Brahim-Djelloul dont le timbre lumineux, fluide et fruité traduit la ruse et l'opiniâtrité de Suzanne.[...]»

24 Heures - 24/04/2007 - Figaro convole avec l'excellence - Bernard Hatler

« [...] Cette coproduction de Lausanne et du Capitole de Toulouse des Noces de Figaro était assurément très attendue puisque l’ouvrage de Da Ponte/Mozart n’avait plus été donné depuis la saison 1995-1996. [...] Sur le plan musical, la distribution appelle tous les suffrages. La voix fraîche et ronde d’Amel Brahim Djelloul en fait une Suzanne idéale [...] l’Orchestre de chambre de Lausanne [...] livre une lecture très acérée mais nuancée de la partition sous la conduite de Juanjo Mena. Tout simplement brillant!»

ResMusica.com - 02/05/2007 - Lausanne condamné à l'excellence - Jacques Schmitt

« [...] La charmante Amel Brahim-Djelloul (Susanna) campe une servante d’une fraîcheur extrême. Constamment en mouvement, elle s’empare de la scène avec aisance et intelligence. En parfaite musicienne, elle harmonise ses gestes aux rythmes de la musique de Mozart qu’elle chante sans difficulté apparente, assimilant parfaitement l’esprit de la lettre et de la note du Maître de Salzbourg. [...]»

anaclase.com - 20/04/2007 - "Le Nozze di Figaro" - Isabelle Stibbe

« [...] Amel Brahim-Djelloul compose une Susanna jolie, piquante et grâcieuse. Sa voix fraîche et claire convient parfaitement à ce rôle de soubrette mutine, et l'on comprend qu'elle fasse tourner la tête du Comte Almaviva [...]»

Les Milles et une nuits (CD Ameson ASCP 0609)

Opéra Magazine – Avril 2007 – Sélection CD - Amel Brahim-Djelloul - Les Milles et une Nuits (Note : 5 clés de Sol /5) - Gérard Condé

« [...]La Saint-Valentin est passée, mais il n'est jamais trop tard pour offrir ce disque à la femme (ou à l'homme) de sa vie. Les poèmes de ces mélodies, d'origine hindoue, persane ou arabe, parlent d'amour de la façon la plus mystiquement sensuelle qu'on puisse rêver et les compositeurs ont déployé leurs harmonies les plus enveloppantes, leurs inflexions mélodiques les plus charmeuses : c'est languide, ardent et rêveur tour à tour. Tout comme l'amour est aveugle, il faut faire aveuglément confiance aux deux artistes qui ont conçu ce programme.
Anne Le Bozec [...] est l'une de ces partenaires idéales, complice active, qui permettent à un chanteur de donner le meilleur.
Amel Brahim-Djelloul, à l'aube d'une carrière prometteuse, possède une voix ronde, égale et souple ; sa prononciation irréprochable marque le degré de son investissement. Ainsi, elles ne se contentent pas de défendre leur programme, elles l'imposent.
Des quatre compositeurs, Karol Szymanowski (1882-1937) est le plus familier ; les mélismes de ces Chants du Muezzin amoureux (en traduction allemande) fixent immédiatement un climat de passion et de volupté. Généralement ignoré des dictionnaires, Francesco Santoliquido (1883-1971), Italien exilé en Tunisie, n'est pas un épigone de Puccini, même s'il en a la générosité et la plénitude : ses tre poesie persiane, sur des aphorismes fascinants, sont la justesse même. Quoique Louis Aubert (1877-1968) ait trop longtemps survécu à sa gloire, l'auteur subtil de La Forêt bleue ne mérite pas l'oubli ; en témoigne l'architecture magistrale de son cycle de Six poèmes arabes, déjà enregistrés en 2002 par Françoise Masset et qu'on peut redécouvrir ici sous un jour différent. Les Quatre poèmes hindous sont ce qu'on connait le mieux de Maurice Delage (1879-1961) ; réduits ici au seul accompagnement de piano,ils conservent néanmoins cette quasi-perfection qui distingue l'unique disciple de Ravel [...]»

Télérama – 31/03/2007 – N°2985 - Critique - Les milles et une nuits (Note : ffff /4) - Gilles Macassar

« Il y a deux ans, au Théâtre des Champs-Elysées, son numéro de rappeur – valet de comédie travesti en « caillera » des quartiers sensibles – avait valu à Amel Brahim-Djelloul, dans une mise en scène provocante du Couronnement de Poppée de Monteverdi, un savoureux succès. Ayant repris sa casquette de cantatrice tout ce qu’il y a de plus classique, vissé sa visière à l’endroit sans rien concéder de sa singularité ni de ses racines, la jeune soprano algéroise enregistre aujourd’hui des mélodies peu connues du siècle dernier, qui retentissent de l’appel de l’Orient et de sa nostalgie. Des Quatre Poèmes hindous de Maurice Delage (conçus à l’origine pour voix, quatuor à cordes, quintette à vents et piano) aux Trois Poèmes persans de Francisco Santoliquido (un Italien qui s’expatria en Tunisie pour fuir le fascisme mussolinien), des Six Poèmes arabes de Louis Aubert (celui qui, enfant, chanta le Pie Jesu du Requiem de Fauré à sa création) aux Lieder du muezzin amoureux de Karol Szymanowski (le Polonais qui, entre Frédéric Chopin et Krzysztof Penderecki, assura la continuité du génie musical de sa patrie), le tour d’horizon est large, le panorama varié. Entrelaçant arabesques vocales et mosaïques d’accords, les deux cycles français prouvent que ni les Chansons de Bilitis de Debussy, ni les Chansons madécasses de Ravel ne détiennent le monopole de l’érotisme musical. En ce début de XXe siècle, héritière des fantasmagories symbolistes, la mélodie française exalte souverainement l’abandon des rêveries volup tueuses, la satisfaction lasse du désir. Le recueil de poèmes dont s’inspire Louis Aubert s’intitule Le Jardin des caresses – la définition même de l’art d’Amel Brahim-Djelloul et de sa pianiste. Quant au label Ameson (sans « h » ni « ç » !), on lui pardonne son mauvais jeu de mots pour savoir ferrer de si bonnes prises. »

Récitals en Algérie - Mars 2007

El Watan - 05/03/2007 - Oran-Concert classique d'Amel Brahim-Djelloul - Un hymne à l'amour à El Bahia - Djamel Benachour

« «Je m'en souviendrai». C'est la petite phrase prononcée avec une grande émotion par la soprano Amel Brahim-Djelloul face au public du TRO qui découvre, un peu grâce à elle, le plaisir du chant d'opéra et qui l'a fortement ovationnée à l'issue du récital qu'elle venait de donner le soir du vendredi 2 mars.
Auparavant, elle a eu tout le loisir de séduire un public qui a rempli la salle de l'ancien opéra d'Oran baptisé Abdelkader Alloula et à laquelle elle a redonné vie. « Je suis très heureuse de revenir en Algérie, c'est la première fois de ma vie que je viens à Oran et je suis très heureuse », dira-t-elle juste après son apparition sur la scène moulée dans une robe rouge.
Elle déclare aussi être très contente de faire le voyage avec des personnes qui ont beaucoup compté dans sa formation musicale en pensant à Malcolm Walker (baryton), son partenaire pour les duos et à Catherine Daiprés, pianiste, avec lesquels a été monté ce récital varié intitulé Découverte. Elle commence sa prestation avec l'interprétation du personnage Laura (Alma grande e nobile core) d'après Mozart, le célèbre musicien pour lequel a été consacrée toute la première partie du spectacle. « C'est le rôle d'un personnage, femme prétentieuse », explique-t-elle au public, d'abord curieux puis séduit par la capacité de la jeune femme à s'habiller d'un costume culturel qui n'est pas forcément le sien à l'origine. Mais la musique ne se reconnaît pas de frontières et Malcolm Walker, qui s'est dit très heureux de découvrir l'Algérie et Oran pour la première fois, a simplement annoncé sous les applaudissements : « Nous avons l'honneur de travailler avec Amel. C'est un cadeau. » C'est d'ailleurs lui-même qui informera le public que la soprano algérienne va incarner le rôle titre de Véronique de A. Messager au théâtre du Châtelet à Paris. Il interprétera en solo Io Ti Lascio, toujours selon Mozart, en tentant d'expliquer ou de traduire le thème du passage qu'il devait incarner : « Je te quitte, retrouve ta liberté, en dehors de moi tu seras heureuse... ». « Ce n'est pas très gai », avoue-t-il. Le premier duo concerne un passage des Noces de Figaro avec les personnages de Suzanne et le Comte  Les thèmes de l'amour à l'ancienne, ses joies et ses peines, se succéderont avec Despina, la jeune servante au courant des choses de la vie, de Pamina et Papageno l'oiseleur, d'après La flûte enchantée.
[...] La seconde partie a été entamée par des pièces de F. Salvador-Daniel qui a vécu en Algérie, un pays qui l'a, selon Amel, fortement inspiré. Elle s'est dite particulièrement sensible à la mélodie de Zohra (chanté en duo) et elle s'en émeut à chaque fois qu'elle l'interprète un peu partout dans le monde.
[...] La troisième partie du spectacle est consacrée au mythique Broadway. Alors que la soprano demande au public de rêver avec elle dans Dream with me (Peter Pan) de L. Bernstein, Walker rêve d'une soirée enchantée avec Some Enchanted evening (South pacific) de R. Rodgers. La clôture en apothéose est un extrait de West side story, Tonight tonight. Ils chantent ensemble The world is full of light / The world is falling right.

Cosi fan tutte de W.A. Mozart / Opéra de Nice / janvier 2007 (Mise en scène : Philippe Sireuil / Direction musicale : Marco Guidarini)

Opéra Magazine – Mars 2007 – Cosi fan tutte – Maylis Kohn

« [...] Amel Brahim-Djelloul est une délicieuse Despina qui mène son petit monde à merveille. Sa voix malicieuse, celle d'un soprano léger de grand caractère, se prête de bonne grâce à ses différents travestissements [...] »

Le Nozze di Figaro de W.A. Mozart / Angers Nantes Opéra / Novembre-Décembre 2006 (Mise en scène : Stephan Grögler / Direction musicale : Thomas Rösner)

Opéra Magazine – Janvier 2007 – Le Nozze di Figaro – Franck Langlois

« [...]La distribution vocale est homogène, Amel Brahim-Djelloul offrant la composition la plus réussie. Avec sa silhouette gracile et loin des soubrettes guidées par le seul bon sens terrien, elle campe la figure d'une noble Suzanne, femme de tête et de coeur; au diapason, son timbre clair s'accompagne d'une élégante palette de couleurs, d'articulations et d'intentions[...] »

ResMusica.com – 12/12/2006 – Des Noces au microscope – Vincent Deloge

« [...]Amel Brahim-Djelloul[...] nous séduit[...] avec une voix à la fois fraîche et corsée, ainsi qu’une présence juvénile et espiègle. Elle partage de plus une approche technique et stylistique irréprochable avec le Figaro de David Bizic[...] »

Le Couronnement de Poppée de Claudio Monteverdi / Grand Théâtre de Genève / Septembre 2006 (Mise en scène : Philippe Arlaud / Direction musicale : Attilio Cremonesi)

Forumopera.com – 08/09/2006 – Le Couronnement de Poppée - Maurice Salles

« [...] Amel Brahim-Djelloul, quant à elle, séduit d’emblée : Amour joli comme un cœur sous l’apparence de Charlot, à peine modifiée pour devenir Valletto, elle ravit par le charme d’un timbre très pur, la musicalité de l’accent, et la désinvolture scénique.[...] »

La Tribune de Genève – 11/09/2006 – Sexe, sang et folie sur la scène du BFM – Sylvie Bonier

« Avec l'Amour délicieux [...] d'Amel Brahim-Djelloul, la distribution est à la fête.[...] »

24 heures – 12/09/2006 – Les folies pourpres de Rome – Matthieu Chenal

« [...] Voici Amour, virevoltant et roulant des prunelles : Amel Brahim-Djelloul lui prête son énergie et ses vocalises agiles.[...] »

ResMusica.com – 15/09/2006 – Sex and the City chez Néron – Jacques Schmitt

« [...] à l’opposé, formidable actrice, doublée d’une aisance vocale étonnante, la soprano Amel Brahim-Djelloul (Valet) inonde le plateau d’une fraîcheur irradiante. [...] »

L'incoronazione di Poppea / Staatsoper UDL (Berlin) et La Monnaie (Bruxelles) / Février-Mars 2006 (Mise en scène : David Mc Vicar / Direction musicale : René Jacobs)

Le Soir – 16/03/2006 – Monteverdi, plus distrayant que pervers

« [...] On donnera un fameux coup de chapeau [...] au Valletto rapeur d'Amel Brahim-Djelloul.[...] »

4ème Symphonie de Mahler / Airs de W.A. Mozart / Mogador / Orchestre Pasdeloup / 14 Janvier 2006 (Direction musicale : Wolfgang Doerner)

Le Figaro – 17/01/2006 – Un Mahler Authentique – L'orchestre Pasdeloup à Mogador – Christian Merlin

«[...] Une vision pleine de tendresse et de lumière, renforcée par la participation rayonnante de la ravissante soprano algérienne Amel Brahim-Djelloul, découverte il y a deux ans dans le Couronnement de Poppée. [...]émouvante[...]elle nous donnait, avec le sublime air des maronniers à l'acte IV des Noces de Figaro, un avant-goût qui nous rend déjà impatient de la voir et de l'entendre en scène dans l'intégralité du rôle de Suzanne où elle devrait faire des merveilles. Puis, elle sut faire de sa voix chaude, sensuelle et délicate un instrument de plus de l'orchestre dans le lied final de la symphonie de Mahler, abordé sans la moindre affectation. Ne méprisez pas les associations symphoniques, elle sont hors du star system, mais on y fait de la musique !»

La Clémence de Titus de W.A. Mozart / Festival d'Aix-en-Provence / Juillet 2005 (Mise en scène : Lukas Hemleb / Direction musicale : Paul Daniel)

Les Echos – 12/07/2005 – Régner dans la douceur – Michel Parouty

« [...]Amel Brahim Djelloul est délicieuse en Servilia[...] »

Forumopera.com – 14/07/2005 – La Clémence de Titus – Claude Jottrand

« [...]Amel Brahim Djelloul, jeune soprano née à Alger et formée en France, chante Servilia avec une petite voix tendre et beaucoup de fraîcheur.[...] »

La Libre Belgique – 14/07/2005 – Les pièges de la « Clémence » – Martine D. Margeay

« [...]Bonne surprise [...] du côté des chanteurs [...] : mentionnons la soprano algérienne Amel Brahim-Djelloul (Servilia), issue de l'académie d'Aix et du Jardin des Voix [...] »

L'incoronazione di Poppea / Théâtre des Champs-Elysées (Paris) / Octobre 2004 (Mise en scène : David Mc Vicar / Direction musicale : René Jacobs)

ConcertoNet.com – 13/10/2004 – Le couronnement musical de Monteverdi – Manon Ardouin

[...]« Amel Brahim-Djelloul fait grande sensation dans ses débuts parisiens et elle obtient une ovation plus que méritée. Cette toute jeune chanteuse se fait de plus en plus remarqué dans le monde baroque et sa tournée en tant que chanteuse du Jardin des voix avec William Christie devrait contribuer à mieux la découvrir. Elle possède un instrument solide, une voix bien placée et timbrée agréablement et surtout elle sait s'investir dans un rôle, voire dans deux puisqu'ici elle interprète le personnage horripilant de Valletto et celui beaucoup plus charmant de l'Amour (sorte de double noir de l'Amour de Semele.[...] »

Chanteurs.net - 17/10/2004 – Ecoute de Spectacles : L'incoronazione du Poppea – Alain Zürcher

[...]Amel Brahim-Djelloul, déjà remarquée lors du prix de chant du Conservatoire en 2003, est aussi supervbe vocalement en Amore que séduisante scéniquement en Valletto[...]

Leguide.be - 18/10/2004 - Poppée : fric, sexe et violence - Serge Martin

[...]Valletto (Amel Brahim-Djelloul insolent à souhait) un arrogant gamin des rues[...]

Die Zauberflöte de W.A. Mozart / Opéra de Massy / Janvier 2004 (Mise en scène : Lukas Hemleb / Direction musicale : Alain Altinoglu)

Chanteurs.net – 11/01/2004 – Ecoute de Spectacles : Die Zauberflöte – Alain Zürcher

« [...]une délicieuse Amel Brahim-Djelloul dans un rôle qui met admirablement en valeur son timbre fruité[...] »

Récital « Jeunes Talents » / Les Archives (Paris) / 29/07/2003 (Amel Brahim-Djelloul, soprano / Anne-Céline Barrère, Piano)

ConcertoNet.com – 29/07/2003 – La révélation – Phlippe Herlin

« Nous l'avions découverte en Pamina [...] en 2002, ce récital de mélodie en apporte encore la confirmation éclatante. Amel Brahim-Djelloul est une remarquable soprano, une voix d'exception.[...] Sa voix très pure, légère, d'une subtile richesse de timbre, jamais mise à mal par les notes haut perchées, à l'aise dans toutes les nuances et d'un parfait placement se révèle idéale dans le répertoire français. On rêve de l'entendre en Mélisande ou dans le Dialogue des Carmélites... [...] »

Die Zauberflöte de W.A. Mozart / CNSMD de Paris / Mars 2002 (Mise en scène : Lukas Hemleb / Direction musicale : Alain Altinoglu)

ConcertoNet.com – 08/03/2002 – Des Noms à retenir – Phlippe Herlin

« [...]Vocalement aussi, on est frappé par le bon niveau général dans lequel on distinguera une Pamina au timbre fruité, à la voix duetile et précise, à la prononciation parfaite (Amel Brahim-Djelloul)[...] »